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Edito

>Decrescendo, crescendo<

A quel moment faut-il partir quand aucun règlement ne vous y oblige et que personne ne vous le demande ? La détermination exacte de ce moment fort n’est pas toujours évidente. Il faut répartir judicieusement les successions au comité et au secrétariat général de la SVM pour éviter des ruptures brutales et simultanées et les lézardes qui sont susceptibles d’en découler. Il faut aussi partir quand tout va bien et surtout quand on a la chance de pouvoir compter sur une relève de qualité. Et c’est maintenant !

Dans un monde en crise et un secteur chahuté, nous avons fait le pari d’assurer ensemble une transition harmonieuse à la tête du secrétariat général. Ceci est grandement facilité par le soutien d’une équipe à la fois jeune et expérimentée, qui constituera un trait d’union entre nous, et du fait de la confiance et de l’appui accordés par le comité de la SVM.

Une transition harmonieuse est cependant tout le contraire de l’immobilisme, car la stabilité de fond en interne est justement un terreau fertile pour stimuler l’innovation et de nouvelles entreprises, en vue d’aborder efficacement le soutien à nos membres face aux défis du futur.

Le changement vient également des personnes, car c’est une cause qu’on épouse avec ses compétences propres, son expérience mais en engageant aussi toute sa personne. Nous ne nous connaissions pas mais nous affirmons notre solidarité dans ce passage de témoin, afin de continuer à porter haut les couleurs de la SVM dans le nouveau cycle qui commence et se dirige tout droit vers les 200 ans de notre association.

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