Y’a pas d’mal à se faire du bien … ? (paradoxes ?)

Oui, mais malheureusement, malgré la grande discipline de la majorité à l’égard du Covid, et le respect des 3 règles de base (distanciation, masque si …, lavage régulier des mains), les contaminations fleurissent, et on ne prétend ne connaître, sur la base des déclarations, la cause que dans 30% des cas. Totalement paradoxal puisque les cas chez les personnes âgées, donc à risque, diminuent drastiquement. Cela prouve à l’évidence, et pour le bonheur des épidémiologues, que ces règles sont efficaces (pas besoin d’étude, on est là déjà au-delà de la phase 3). On doit donc postuler l’indiscipline ! On fait des tests basés sur les symptômes et circonstances rapportés, passé au crible par des personnes formées, mais au maximum 5 à 10% des « cas » sont réellement positifs ! Quelle valeur pour ce dépistage, nécessaire, et surtout qui paye ? VOUS et moi, parce que c’est « offert » par la Confédération. Sur la base de la règle de solidarité, qui ne devrait en bonne logique s’appliquer que pour la part due à l’imprévisible n’est-ce pas ! Mais comme on a déjà abandonné pour les alcooliques et les consommateurs de drogues, qui ne sont sanctionnés qu’en cas d’accident de circulation sous emprise, ….Quand j’entends se lamenter sur le « manque d’oxygène » dû au masque, pffff, alors que l’on peut imaginer simplement que l’on est en altitude, où cela se produit effectivement, je constate que le vécu n’est pas le même pour tous. Le narcissisme ambiant est omniprésent.

Une caisse-maladie qui Assure commente la fiabilité des tests, nous parle de leur spécificité et leur sensibilité (en omettant de parler de l’incidence de ce que l’on recherche). Dans le même document à ses assurés elle parle du « surdiagnostic », sans le définir, ce qui évoque les « sur-coûts » engendrés pourtant par des personnes qui se sentent malades et sur indication médicale, OU en est-on actuellement dans cet embrouillamini ? Et surtout quelles mesures prendre.